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Citations de Coluche

Le mec qu’est copain avec une grenouille, en Normandie, il l’emmène, elle est contente !
Coluche. Le syndicat : le délégué (1979).

Le bac, je ne crois pas que ça serve à quelque chose. Comme ils disent à Tancarville : Plutôt que de passer le bac, prenez le pont !
Coluche.

Le mois de l’année où le politicien dit le moins de conneries, c’est le mois de février, parce qu’il a que 28 jours.
Coluche. Les discours en disent long (1986).

Vous savez pourquoi je met des slips Epeda Multispire ? C’est pour pouvoir m’en gratter une sans réveiller l’autre.
Coluche.

Tu vois, si j’avais eu du lard, j’t’aurais fait une omelette au lard. Malheureusement, j’ai pas d’oeufs !
Coluche. Le chômeur (1986).

Moi, les hommes politiques, j’appelle ça des timbres : De face, ils vous sourient, ils sont figés, mais si jamais vous leur passez la main sur le dos, alors là, ça colle, vous en sortez plus !
Coluche. Le chômeur (1986).

En photo, je rends bien. Après les repas aussi d’ailleurs.
Coluche.

Tu as vu ça, maintenant, le prix du paquet de Gitanes ! Ça fait cher le cancer !
Coluche.

En France, c’est interdit de parler la bouche pleine. En Italie, c’est interdit de parler les mains pleines.
Coluche.

J’ai suivi les conseils qu’il y a dans le livre de Rika Zaraï : « Le masque pour la nuit. » Tu te mets des carottes, des olives, des œufs, des champignons. Et, au réveil, t’as une pizza.
Coluche.

J’ai enfin la réponse ! Ce week-end, j’ai demandé à un flic pourquoi il m’emmerdait, il m’a répondu : Je suis minable, il faut bien que j’emmerde quelqu’un de connu !
Coluche.

Dans les déclarations de sportifs, c’est comme dans les déclarations d’hommes politiques : la franchise ne consiste pas à dire ce qu’on pense, mais à penser ce qu’on dit.
Coluche.

Le cinéma français vit de ses comédies et récompense ses drames.
Coluche.

Il y a deux genres de chanteurs, ceux qui chantent juste et ceux qui chantent tout juste.
Coluche.

La grossièreté vise à choquer ceux qui n’en rient pas pour faire rire deux fois plus les autres.
Coluche.

Y a rien de pire que d’avoir 20 ans et des idées : tout le monde les trouve mauvaises.
Coluche.

Partant du principe qu’il vaut mieux gâcher sa vie que rien faire du tout, on va continuer, nous, qu’est-ce t’en penses ?
Coluche.

C’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison !
Coluche.

C’est pas parce qu’on dit la vérité qu’on dit du mal, et c’est pas parce qu’on dit du mal qu’on dit la vérité.
Coluche.

Des nouvelles de la presse. Cette semaine je suis dans Lui. Je préfère quand je suis dans Elle.
Coluche.

Ça vaut le coup de se fâcher avec quelqu’un si on le voit tous les jours. Parce que si on se fâche avec quelqu’un qu’on ne voit que tous les ans, ça vaut pas le coup, on n’en profite pas.
Coluche.

Il y a beaucoup d’hommes politiques qu’ont intérêt à parler de moi, parce que je suis plus connu qu’eux. Ils ont donc intérêt à parler de moi s’ils veulent qu’on parle d’eux.
Coluche.

Comme dit un cadre du Parti communiste après une élection : Ça me laisse sans voix !
Coluche.

Alors, si je comprends bien, il faudrait pas que je dise du mal des Belges, il faudrait pas que je dise du mal des Arabes, il faudrait que je ferme ma gueule à propos de la politique, il faudrait que je raconte des histoires un peu moins dégueulasses et il faudrait pas que je parle la bouche pleine, mais on va jamais me payer à rien foutre !
Coluche.

La raison du plumard est toujours la meilleure.
Coluche. La pute (1986).

Quand j’étais gamin, je jouais à pile ou face avec une pince et une gomme. Bah oui, la pince épile et la gomme efface !
Coluche.

La Suisse, c’est formidable, tout y est moins cher, même l’argent français !
Coluche.

Amène ta paye avec la mienne ça nous fera une bonne semaine, Amen !
Coluche.

Quand il pleut des roubles, les malchanceux n’ont pas de sacs.
Coluche.

Il s’est pendu avec un élastique, on l’a retrouvé écrasé au plafond.
Coluche. Le belge (1979).

La police, c’est un refuge pour les alcooliques qu’on n’a pas voulu à la SNCF et aux PTT.
Coluche. Le flic (1975).

Faut pas nous prendre pour des cons, quand même !
Coluche. Le flic (1975).

On a tort en général de s’énerver, parce qu’on arrive à dire dans la conversation des choses qu’après on regrette.
Coluche. Le CRS arabe (1974).

J’suis peut-être con, mais le dernier qui m’a vu bosser, il est pas jeune !
Coluche. Le clochard analphabète (1977).

Un homme politique, c’est d’abord un homme qui s’occupe de sa carrière. Puis une fois qu’il est arrivé à un poste assez important alors, à ce moment-là, il met du pognon de côté : Il commence à magouiller dans des affaires de gouvernement, avec des tierces personnes :  » hommes de paille  » qu’on appelle ! et ils mettent du pognon de côté, parce que ça dure pas un homme politique, mais ils récupèrent l’argent après.
Coluche. Le chômeur (1986).

L’avenir appartient à ceux qui ont le véto !
Coluche. Le chômeur (1986).

Les hommes politiques sont pas tous des voleurs, mais quand ils vous serrent la main, recomptez vos doigts.
Coluche. Le chômeur (1986).

Le plus dur pour les hommes politiques, c’est de se souvenir de tout ce qu’il ne faut pas dire.
Coluche.

J’ai commencé par être chanteur, mais j’ai été plus honnête que ceux qui ont continué, moi j’ai arrêté.
Coluche.

On m’a volé ma moto. Je vais m’en acheter une autre. Si les voleurs ont une préférence pour la couleur, qu’ils m’écrivent !
Coluche. Europe 1, le 24 avril 1978.

J’ai un copain qui a fait un mariage d’amour : il a épousé une femme riche, il aimait l’argent.
Coluche.

Le mariage des prêtres, je suis pour ; s’ils s’aiment.
Coluche.

Combien il y a de gens qui travaillent à la Sécurité sociale ? Un sur quatre !
Coluche.

La moitié des hommes politiques sont des bons à rien ; les autres sont prêts à tout.
Coluche.

Camarades morpions, adhérez aux parties !
Coluche.